Des nouveautés sur les « Bons de formations »
Publié le 26/09/2018
Suite à la victoire de l’équipe de France lors du Mondial, la FFF a décidé de revaloriser l’enveloppe initiale attribuée en faveur de la formation. Pour cela, la sommes attribuée pour le financement des « bons formations » envers les formations de dirigeants,
d’éducateurs et d’arbitres a été revue à la hausse et le dispositif applicable de manière rétroactive au 1er juillet est désormais le suivant :
- « BONS FORMATIONS » EDUCATEURS :
Pour les modules de formation U6/U7 à U15 + animatrice fédérale : chaque licencié bénéficie de deux « bons formation » de 25 € pour chaque module de 16h ou moins effectué durant la saison 2018/2019.
Pour les modules composant les Certificats Fédéraux de Football 3 et 4, les modules complémentaires, les certifications et les formations continues de niveau 3 et 4, le dispositif est inchangé : 1 bon formation par module de 16h ou moins dans la limite de 2 bons par saison.
- « BONS FORMATIONS » DIRIGEANTS :
Dans le cadre du Parcours Fédéral de Formation des Dirigeants : chaque licencié
bénéficie de 2 « bons formations » de 25 € pour chaque module de formation de 4h effectué durant la saison 2018/2019. Ce dispositif sera entièrement géré par l’Institut de Formation du Football.
- « BONS FORMATIONS » ARBITRES :
pour la saison 18/19 : chaque licencié bénéficie de 2 « bons formations » de 25 € pour
le module de formation initiale d’arbitre.
Pour tous les stagiaires (éducateurs, arbitres, dirigeants) qui ont déjà effectué une formation depuis le 1er juillet 2018, 25€ sera remboursé au club, sous réserve que le stagiaire avait réglé une partie de sa formation avec un « bon formation ».
De plus, pour rappel, Dans le cadre de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2019 et du Programme Héritage 2019 de la FFF, l’utilisation des bons pour les éducatrices, dirigeantes et arbitres féminines est illimitée dans la limite du coût de la formation. Cette action répondant à la volonté de la FFF de promouvoir la féminisation du football en France.
N’hésitez plus, et rapprochez-vous de l’IR2F pour plus d’informations.
Par Quentin Huguet